La Bio-résonance au service de la compréhension et de la correction des signaux perturbés.
Qu’est-ce que la Bio-résonance ?
Un procédé d’analyse
Le procédé de Bio-résonance dérive de la médecine quantique, qui étudie le vivant sous l’angle de la biophysique quand la quasi totalité des autres formes de médecine qui l’ont précédée, l’étudiaient sous sa forme biochimique. Il s’agit d’une technique encore récente, mais dont l’avenir semble prometteur et très dépendant de l’évolution corollaire des sciences électroniques et informatiques. La Bio-résonance permet avant tout de mesurer et d’analyser des données énergétiques, aussi bien dans l’environnement que plus spécifiquement dans le vivant et le corps humain ; c’est une technique quelque peu similaire au reiki, dont l’objectif est de permettre la circulation de l’énergie dans le corps.
Une hypothèse thérapeutique
Si les techniques de la Bio-résonance nous permettent d’enregistrer et d’analyser les signaux perturbés d’un malade, elles nous offrent également la possibilité en retour d’agir sur ces signaux pour tenter de les corriger, exactement comme le ferait un oscilloscope branché sur un circuit électrique. Ces prérogatives ouvrent un champ gigantesque pour les médecines aussi bien complémentaires que traditionnelles, mais cet engouement grisant mérite d’être étayé ou contredit par des études scientifiques, encore très marginales (regardez ici).
Deux grands types de bio-résonance
La bio-résonance endogène
On parle de bio-résonance endogène pour désigner la technique de médecine quantique qui analyse et rectifie les signaux perturbés d’un patient, sans apport d’énergie. Deux systèmes actuellement utilisés dans le monde (principalement en Allemagne et en Russie, les deux pays à la pointe de cette technologie, mais également en France et ailleurs) utilisent ce procédé : le système MORA (qui donne son nom à la « Morathérapie ») et le système BICOM, qui analysent les informations de nature ondulatoire d’un organe ou d’une fonction, les classent, identifient les dysfonctionnements, les redressent voire les amplifient pour les restituer à l’organisme et participer ainsi à « reprogrammer le langage intercellulaire ».
La bio-résonance exogène
Dans les systèmes — multiples — comme le « Metatron », le « Physioscan », le « Vega Check », le « CoRe Inergetix » ou le « Prognos », par exemple, les anomalies détectées sont corrigées par l’apport de fréquences issues de générateurs, producteurs d’une énergie que l’on définit dès lors comme « exogène ». Cette technique nous vient de Paul Schmidt et est principalement développée en Allemagne ; elle concentre ses efforts d’analyse sur les perturbations de notre état de santé liées à la géopathie, l’électrosmog et la mauvaise alimentation.
Indications thérapeutiques
Le traitement des allergies
Etant donné le caractère général des préceptes de la médecine quantique sur lesquels se déclinent les techniques de la bio-résonance, les champs de son application sont également très vastes et restent encore en grande partie inexplorés. Toutefois, le domaine des allergies semble être un terrain de prédilection pour cette nouvelle technologie médicale — comme pour le magnétisme — qui s’intéresse aussi bien aux allergies respiratoires, qu’aux allergies digestives ou cutanées. Le professeur Schumacher exerçant à Innsbruck et utilisant la technologie BICOM a fait publier des résultats sensationnels sur une cohorte de 200 patients allergiques, dont 83% seraient devenus indifférents à l’allergène six mois après la fin de la thérapie. Néanmoins, de nombreuses voix contradictoires s’élèvent et mettent en garde contre la popularité de ces techniques encore si mal connues, notamment dans le champ de l’allergologie, (lisez ici).
Les autres maladies
Bien que les études soient en cours ou en attente pour évaluer l’efficacité réelle des traitements de bio-résonance, praticiens et théoriciens croient en ses perspectives pour soigner aussi bien les troubles du système nerveux que les troubles du système locomoteur ou les troubles hormonaux. Mais ces techniques pourraient également s’avérer efficaces dans le cas de traumatismes crâniens, pour accompagner un processus de cicatrisation par exemple, ou dans le cadre de détoxications. Néanmoins et avant tout, prudence ! Si on connaît mal, encore une fois, la réalité des effets de ces techniques sur les traitements, on connaît encore plus mal leurs possibles effets secondaires, y compris, à terme, sur l’ensemble de nos cultures médicales (pour une alerte, critique, lisez ici). Les applications de la bio-résonance sont en tout état de cause multiples et le traitement thérapeutique des maladies proprement dites ne représente qu’un aspect de la recherche. Ainsi, les données issues de la bio-résonance pourraient aussi nous permettre de modifier un comportement alimentaire s’étant avéré peu pertinent ou de neutraliser physiquement les effets secondaires de certains médicaments.
Grandes lignes de fonctionnement des appareils de bio-résonance
Un signal altéré
La communication intercellulaire se fait à l’aide de faibles émissions lumineuses qu’on appelle les biophotons. Toutes nos cellules reçoivent et émettent des oscillations que l’on peut mesurer, dans et autour de notre corps. Elles sont générées par l’ADN et corollaires des procédés chimiques assurant notre équilibre biologique. Ces oscillations peuvent être perturbées sous l’effets de différents acteurs pathogènes comme les polluants chimiques, les bactéries, les virus, les parasites et les champignons, les allergènes, certains minéraux, etc., mais également par des éléments immatériels comme les émotions. Une interférence électromagnétique traduit alors ces agressions, dont on présume qu’elle correspond au symptôme. La cellule endommagée émet un signal qui est en fait une combinaison du signal harmonieux d’origine et de la distorsion présente et c’est ce signal hybride que capte par exemple à la surface de la peau un appareil comme le Bicom, à l’aide d’une électrode qu’on tient dans la main.
Perspectives de correction
Une fois que l’appareil a identifié l’endroit du dysfonctionnement, l’appareil s’attache, comme on le ferait sur un vulgaire poste de radio, à syntoniser la bonne fréquence. Grâce à un effet miroir, l’appareil de bio-résonance endogène renvoie alors le signal combiné au corps qui, du coup, neutralise les éléments pathogènes et entreprend de s’autoréguler. Les émissions électromagnétiques émises par les appareils de bio-résonance exogène sont ajustées pour être coordonnées à celles de l’organisme vivant, on dit qu’elles sont mises en Bio-résonance…